Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

Elections professionnelles dans l’Education Nationale : le FN appelle à voter FO...
Article mis en ligne le 27 novembre 2014

par siksatnam

Communiqué de presse d’Alain Avello, secrétaire général du Collectif Racine (FN) : « Elections professionnelles dans l’Education nationale : Y voir plus clair dans l’offre syndicale » du 27 novembre 2014

Ci dessous, le torchon du "Collectif Racine", cache-sex du FN dans l’Education Nationale :

A partir d’aujourd’hui, 27 novembre, et jusqu’au 4 décembre, les personnels de l’Education nationale éliront leurs représentants à la Commission Administrative Paritaire Nationale (CAPN), au Comité Technique Ministériel (CTM), et aux Comités Techniques Académiques (CTA), instances consultatives mixtes en charge de l’organisation de l’Education nationale, des statuts des personnels et de la gestion de leurs carrières

Si le Collectif Racine, association professionnelle assumant (hors des établissements) son engagement politique, n’est donc pas un syndicat, il saisit cependant l’occasion de ces élections professionnelles pour aider ses adhérents et, au-delà, l’ensemble des collègues, de plus en plus nombreux, dont il sait avoir l’écoute, à y voir plus clair dans l’offre syndicale.

Il entend en premier lieu rappeler le principe d’indépendance du syndicalisme à l’égard de tout mouvement politique. Ce pourquoi il appelle à faire barrage à toutes ces organisations qui sans cesse le détournent à des fins politiques, le plus souvent antinationales, bafouant de facto la neutralité qui devrait pourtant faire norme à tous les niveaux de l’administration. Et il voit tout particulièrement en SUD-Education le parangon de ce détournement : aucune voix ne doit se porter sur cette organisation d’extrême-gauche mondialiste !

Il appelle en outre à ce qu’aucune voix ne se porte non plus sur ces prétendus syndicats, largement politisés eux aussi, qui n’ont eu de cesse d’inspirer et d’accompagner ces politiques éducatives ayant conduit notre système scolaire au désastre et de tramer simultanément contre les intérêts des personnels. A ce titre, les complicités dans l’abrogation des « décrets de 1950 » ont constitué un révélateur des plus clairs. Ainsi le SE-UNSA et le SGEN-CFDT qui ont promu cette régression doivent-ils être résolument sanctionnés, et tout autant le SNES-FSU, qui en est également coupable du fait de son abstention complice.

Le Collectif Racine n’en reconnaissant pas moins la légitimité du syndicalisme, pour autant qu’il soit en conformité avec sa nature et remplisse ses fonctions, il apporte en revanche son soutien à FO et au SNALC, syndicats dont l’indépendance politique, l’attachement à la République et l’engagement pour la défense du Service public ne sont plus à démontrer ".