Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

Le siège du parti grec Syriza occupé par des anarchistes
Article mis en ligne le 12 mars 2015

par siksatnam

Une cinquantaine d’anarchistes occupaient dimanche le siège du parti de gauche radicale au pouvoir, Syriza, en soutien à une grève de la faim de prisonniers qui protestent contre leurs conditions de vie dans les quartiers de haute sécurité, a constaté l’AFP.

Les anarchistes ont fait irruption dans les bureaux de Syriza, dans le centre d’Athènes, forçant les permanents du parti à quitter le bâtiment. « Je donnais dans mon bureau ma première interview officielle à une radio », a témoigné à l’AFP la nouvelle porte-parole du parti, Rania Svigou. « J’ai fermé la porte pour ne pas être dérangée. Puis j’ai entendu des coups et des cris », a décrit Mme Svigou. « J’ai fini l’interview, je suis sortie pour voir ce qui se passait, et ils nous ont dit de nous en aller », a-t-elle déclaré, assurant que les permanents du parti n’avaient pas souhaité appeler la police.
Action

Syriza a critiqué à de nombreuses reprises la répression policière des émeutes anti-austérité des années passées. Les anarchistes ont déployé des bannières sur les balcons du bâtiment, appelant à la fermeture des très controversées prisons de type C, où sont enfermés les plus grands criminels du pays et les prisonniers coupables d’actes terroristes.