Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

Affaire Joué les Tours : PROCES JRE : Suite … et fin ! (enfin !)
Article mis en ligne le 18 janvier 2018

par siksatnam

La cour de Cassation a rejeté les pourvois de Farida Belghoul et Dalila Hassan.
L’arrêt de la cour d’appel d’Orléans est désormais définitif !

Aujourd’hui, Mmes Hassan et Belghoul sont reconnues coupables de façon définitive ! La dignité d’une enseignante exemplaire est enfin lavée de ces ignominies.

Mmes Belghoul et Hassan s’étaient pourvues en cassation afin d’attaquer le jugement rendu par la cour d’appel d’Orléans qui les avaient condamnées respectivement pour complicité de diffamation et pour diffamation.

La cour d’appel avait alourdi la peine de première instance. Farida Belghoul était condamnée à 8000 euros et Dalila Hassan à 2000 euros d’amende pénale. Elles étaient également condamnées à verser solidairement 15000 euros au titre de dommages et intérêts à notre collègue ainsi que 3000 euros pour les frais de justice. En outre, elles avaient également écopé de l’obligation de publier à leur charge les conclusions du jugement dans les journaux suivants : la nouvelle république, le Monde et le Figaro. (nous attendons encore ces parutions !!)

Il est bon de rappeler, que leur vidéo abjecte et mensongère, diffusée dans l’unique but de servir la cause de leur mouvement « journée de retrait de l’école », n’était fondée sur aucun fait réel. Il s’agissait là seulement d’une propagande agressive et grossièrement mensongère destinée à un public déjà acquis.

Cette association (renommée depuis « justice et respect de l’enfant »- !-) qui prétend lutter contre l’enseignement de la théorie du genre à l’école, prône la déscolarisation, développe une haine de l’école publique et de ses enseignants, fait reposer ces actions sur une forte manipulation de personnes socialement fragiles. Sa réelle intention est de viser par l’intermédiaire d’une propagande de choc l’égalité des sexes, la liberté de conscience, la laïcité et l’Etat de droit.

SUD éducation 37 et Solidaires 37 se félicitent de ce jugement exemplaire qui, par les peines prononcées, reconnaît la souffrance professionnelle ainsi que le lourd préjudice tant professionnel que personnel subit par notre collègue injustement diffamée.

SUD Education 37 et Solidaires 37 qui ont soutenu dès le début la collègue diffamée, soutiendront systématiquement tout-e collègue attaqué-e par ces mouvements nauséabonds, véhiculant des valeurs à l’encontre de l’école publique et de l’égalité des droits que nous défendons.

Sud Education 37 , le 17 janvier 2018