Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

La dette publique en France.
Article mis en ligne le 25 août 2007
dernière modification le 26 août 2007

par siksatnam

Les "exploits" des différents gouvernements successifs...
Sarkozy s’assoit sur le dogme libéral... C’est rigolo : Cela montre qu’il n’a rien à faire de l’idéologie et qu’il ment comme un arracheur de dents.

Mais comme nous l’écrit fort justement un de nos visiteurs : "Même si je ne suis pas spécialiste, j’ai tendance à penser que les emprunts n’ont pas servi qu’à "engraisser" les fonctionnaires (comme le disent les libéraux) mais à couvrir AUSSI des dépenses nécessaires. "A la naissance, un petit français doit donc déjà 18 000 €" comme dirait Madelin mais il nait aussi avec une structure et une infrastructure en partie payée".