Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

lancement de la campagne participative pour une démocratie directe et non représentative
Article mis en ligne le 9 avril 2012

par siksatnam

Bonjour,

Nous vous envoyons ce mail pour vous communiquer le lancement d’une grande campagne d’affichage participative en France a l’occasion des élections présidentiels. Cette campagne porte sur la dénonciation de la parodie de démocratie et sur le pouvoir qu’on aujourd’hui les banques et la finance en général ainsi que sur la mise en place d’une démocratie directe.

Aussi vrai que le choix entre une chose et son pareil n’est pas un choix et aussi longtemps que nous ne pourrons voter que pour deux personne qui ont en commun la doxa libéral et la fâcheuse habitude de ne tenir aucunes promesses, la démocratie ne sera qu’un mot vain.

La démocratie c’est le pouvoir au peuple, c’est quand les citoyens s’investissent dans les affaires de la cité, débattent et prennent des décisions sur ce qui les concerne.

Un citoyens c’est quelqu’un qui peut être gouverner aussi bien qu’il peut gouverner. Un citoyens n’est pas un consommateur d’idée, ce n’est pas un spectateur mais un acteur. La politique c’est arriver a construire et a vivre ensemble, ce n’est pas le spectacle parodique auquel nous avons droit et dont la mise en scène est écrit par la haute finance.

C’est pourquoi nous lançons cette campagne d’affichage qui est une campagne libre et participative. Tout le monde est invité a y participer en collant des affiches dans sa ville au moment de la période électoral. Il y a plusieurs affiches qui sont téléchargeable depuis le site internet ( adresse site ) et nous invitons tout les participant a crée des affiches et a les proposer.

Nous sommes une association non répertorié en préfecture qui ce dissoudra après les élections. Nous ne sommes relié-e-s à aucun parti, organisation, syndicats ou associations.

Ci dessous, une analyse syntéthique du contexte politique au sujet de la démocratie suivi par la présentation de l’association et de la campagne d’affichage.

Pour que cette campagne puisse avoir un poid, il faut qu’elle fasse parler d’elle, n’hesitez pas a faire passer ce mail a vos contactes.

La distribution des pouvoirs

 Le pouvoir de la finance et des banques.

La question du pouvoir ne cesse de ce poser car, au fil du temps, ce derniers à pris maintes formes, il ne cesse d’évoluer, parfois de manière radical mais parfois avec une grande subtilité. Aujourd’hui la question mérite encore d’être posé. Où est le pouvoir ? Qui à le pouvoir ? Comment est il exercé ?

Grossièrement, nous avons vu tomber l’Église et vu naitre l’État, maintenant, nous voyons tomber l’État et observons la mise en place d’un pouvoir économique et financier. La politique est soudain réduite à être une technique d’ajustement du corps social à une idéologie économique. Par une suite de traités internationaux (acte unique européen, traité de Nice, traité de Lisbonne) nous voilà bloqué dans une direction que nous n’avons pas choisis et qui ce résume à la volonté de tout marchandiser au mépris de l’Humain.

On nous explique sans cesse qu’il n’y a pas d’autre société possible. La marchandisation généralisé serait la seul marche à suivre, toutes alternatives seraient irréalistes. Ce réalisme économique, au nom duquel nous devons faire tant de sacrifices, n’est en réalité qu’une excuse. Il n’est pas irréaliste d’avoir des droits, il n’est pas irréaliste de vouloir que cela soit l’économie qui serve le peuple et non le contraire. Si les règles économiques nous interdisent d’être autre chose qu’une machine qui produit et qui consomme en nous soumettant, au même titre que les marchandises, aux lois du marché, alors ce sont les règles de l’économie qu’il nous faut changer

Nous avons entre autre perdu notre souveraineté monétaire, nous laissons à quelques banques privées le droit de crée de l’argent à partir de rien. (l’article 25 de la loi 73-7 du 3 janvier 1973 interdit à la Banque de France de faire crédit à l’État, condamnant la France à se tourner vers des banques privées et à payer des intérêts ; alors qu’avant cette loi, quand l’État empruntait de l’argent, il le faisait auprès de la banque de France qui, lui appartenant, lui prêtait sans intérêt.). Nous avons laissé le pouvoir de générer de l’activité par l’investissement à quelques actionnaires qui ce préoccupent plus de voir leurs dividendes augmenter que de savoir si nos conditions de travail nous permettent tout simplement de vivre décemment.

Aujourd’hui le pouvoir économique, politique et social, nous à clairement échappé. Aussi vrai que que le marché, la Banque central européenne (BCE), les banques privées et les conseils d’administrations des entreprises ne sont pas des institutions démocratiques. Aussi vrai que le peuple n’a aucun pouvoir sur ces institutions et que ce pouvoir revient à ceux qui ont de l’argent et non plus à ceux qui votent.

Il est simple d’observer que l’économie à pris la place de la politique. Une simple présentation lors d’une soirée fait l’effet d’une douche froide, juste après avoir dit nôtre nom, nous nous présentons par la profession que l’on exèrce. C’est par le travail que l’on nous définit et que cette société nous accepte en nous donnant, par là même, des droits. Avant d’être des hommes et des femmes, avant d’être des citoyens nous somme des producteurs et des consommateurs. Aujourd’hui le devoir de rentabilité prime sur l’Humain, c’est le temps de la dictature de la société marchande sous couvert d’une parodie de démocratie.

 Les liens entre pouvoir politique et pouvoir financier

Les liens qui unissent les politiciens aux financiers sont de divers nature. On pourrais croire à la bienveillance patriarcal du politicien qui fait face aux rouages bureaucratiques d’une Europe ultra libéral dont la construction n’a laissé de place qu’aux marchés, aux banques et aux multinationals. On pourrais penser que nos politiciens sont de vaillant tribun plaidant la cause d’un peuple pour lequel ils ce sacrifient au quotidien. Sil il en existe bien de cette espèce, il est important de constater qu’ils sont fort peu nombreux et bien impuissant. (dixit la gréve de la faim de Jean Lassalle, député UDF, contre une délocalisation). L’immense majorité de nos politiciens ce sentent plus à l’aise dans le conseil d’administration d’une quelconque multinational où ils peuvent côtoyer leurs amis d’enfance ou leur famille, plutôt que dans le conseil municipal d’une petite commune ou encore à discuter du quotidien dans le bistro du coin avec une personne qu’il représentent.

Quand on voie comment ce recyclent les représentant du peuple cela laisse songeur. A qui une place dans le conseil d’administration d’une banque, à qui un poste de PDG. (George Pompidou, président de la république française, administrateur et directeur général a la banque Rothschild ; Jean Charles Naouri, ministre des affaires sociales puis de l’économie et des finances, associé-gérant de Rothschild&Cie Banque, Actionnaire principale du groupe Casino. Jean Pierre Raffarin, premiers ministre ; membre de la direction marketing des cafés Jacques Vabre de 1973 à 1976 ; directeur général de Bernard Krief Communication de 1981 à 1988 ; délégué général de l’Institut Euro-92 de 1988 à 1989, président du Crédit immobilier de France Centre-Ouest... Pour n’en citer que trois...)

Le liens est parfois si invisible et l’idéologie marchande si prégnante que l’on en viens à voir des technocrates gérer les affaires de l’État comme si il s’agissait d’une entreprise.

Il ne faut pas s’étonner que les décisions politiques soient faites pour arranger les financiers, industriels, spéculateur et autres grands propriétaires. C’est tout à fait logique car, très généralement, le politiciens a exactement les mêmes intérêts que l’industriel et le financier quand ils ne s’agit pas, tout bonnement, d’une seul et même personne qui cumul les fonctions. (Serge Dassault, sénateur UMP, ex patron du Figaro, P-DG du groupe Dassault (armement) ).

On peut ce poser des question sur la représentation du corps électoral par la classe dirigeante.

Nous représentent ils ou sont ils les garants de leurs seuls intérêts ?

Quel est la légitimité d’un gouvernement quand celui ci ne respecte même pas les votes de ceux qu’ils doit représenter (« promesse électoral » est devenu synonyme de « mensonge »). Quel est cette démocratie ou les dirigeants prennent des décisions contraires aux votes sous prétexte que le citoyen ne comprend rien aux enjeux politiques ? (référendum sur la constitution européenne) Comment peut on appeler démocratie un régime dont la constitution a été supplanté par des traité internationaux qui fixent les règles du commerce international dans l’opacité la plus total (accords de l’OCDE, Accords multilatéral d’investissement AMI, le traité pour un Nouveau Marché Transatlantique NTM ou encore l’Accord Général sur le Commerce des Services AGCS). Comment osent on appeler ce fonctionnement une démocratie ?

 Le pouvoir financier et le peuple

Le pouvoir de la finance s’exerce sur nous de manière physique et idéologique. On nous explique que nous n’avons d’autre choix que de sacrifier nos droits sur l’autel de la concurrence et de la rentabilité.

Nous sommes en temps de crise et devons faire des sacrifices mais étonnamment l’industrie du luxe ce porte très bien. En plus de ne profité qu’a une minorité, ce fonctionnement économique basé sur la dette et sur la croissance est une aberration. Dans les théories économiques (sous branche des mathématique) le liberalisme à comme point de départ à sa réflexion (axiome) le fait que ce qui anime l’etre humain c’est d’acheter au prix le moins cher, comme si l’humanité ce résumait a cela.

Les théories de Walras et Milton Friedman, qui on causés les dégats que l’on connait, ont depuis longtemps été réfutées (notamment par le paradoxe d’Allais, le paradoxe de Sonnenschein, par le théorème de Lipsey-Lancaster et le théorème de Nash, par le théorème de l’optimum de Maurice Allais). En gros ils disent du liberalisme : que sont axiome est faux, que sont usage de l’optimum porte a la confusion, que la transparence est un mythe, que l’equilibre du marché est improbable et quand bien même cela arriverais il ne serait pas optimum. Et pourtant, c’est toujours le même discours des mêmes experts que l’on voit dans les médias. On continu à nous expliquer depuis plus de 20 ans que la croissance est la solution au chômage et à la pauvreté. Depuis le temps que le PIB (Produit Intérieur Brut : la somme des richesses en France) augmente le chômage et la pauvreté n’ont pas disparu. Mais l’on continu à croire quand au journal TV on nous dit avec un grand sourire que le moral de ménage est bon (comprendre : les ménages consomment) et que la croissance sera de 1,3% au lieux de 1,1%. Que cela veut il bien dire quand on nous dit sur le ton de la bonne nouvelle que le CAC40 a gagné 1 point à la fermeture de séance ? Que penser quand Madame Parisot nous explique que pour faire plus de social il faut faire plus de croissance et pour faire plus de croissance il faut faire moins de social ?

C’est comme l’idéologie qui veut que cela soit le patronna qui crée de la richesse. Il ne créent rien du tout, il ce contentent d’organiser la production. Ce qui crée la richesse c’est la demande de consommation du client couplé à la création monétaire par le crédit. Le pouvoir du patron n’est pas de crée de la demande mais bien d’organiser la répartition de la production et la redistribution de la richesse qu’elle véhicule.

Aussi, à ce sujet il est intéressant de voir que les banques nous « prêtent » de l’argent qu’elle ne possèdent pas. Elle le crée à partir de rien et nous demandent des intérêts pour ce tour de magie. Nous pourrions très bien nous octroyer le droit de création monétaire, imprimer de jolis billets et le leur rendre ainsi, cela ne serait que justice. Les profiteurs et les feignants ne sont pas ceux que l’on veut bien nous faire croire.
« Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois. » Rothschild.
« Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. » Henry Ford.

Il nous faut nous réapproprier l’espace politique et économique car personne ne nous représentera mieux que nous même.

 Exercer ses droits et ses devoirs ce conjugue au présent.

Nous pouvons continuer à être crédule, à croire des promesse qui n’engage que ceux qui y croient. Continuer à penser que d’autres sont plus qualifiés que nous pour décider de nos vies. Continuer à espérer qu’un messie viennent régler tout nos problèmes.

Mais nous pouvons aussi agir.

Le pouvoir qu’à aujourd’hui la finance et l’économie vient uniquement de notre renoncement à exercer notre pouvoir de décision. Nous pouvons récupérer nôtre pouvoir par la simple volonté de le retrouver. Les politiciens nous doivent des comptes, il suffit de les leur demander. C’est de nos débats et de nos prises de décisions collectives que renaitra la démocratie. C’est en reprenant le pouvoir qui nous revient de droit que nous l’ôterons des mains des banquiers et autres financiers.

Il ne faut pas compter sur les politiciens et les actionnaires pour changer le fonctionnement de l’économie. C’est à nous de le faire car nous ne sommes pas irresponsable et nous ne sommes pas idiots. Nous n’avons que trop délégué les prises de décisions à des gens qui font primer leurs intérêts personnel sur le collectif.

Il est temps de prendre nos responsabilités en réinvestissant la politique et l’économie par les moyens qui sont à notre disposition comme par exemple, la création d’assemblées populaires ou par tout autre moyen qui permettra à la démocratie directe de s’exercer pleinement.

Il est venu le temps de l’action !

Dés aujourd’hui, réapproprions nous l’espace politique et économique car personne ne nous représentera mieux que nous même.

Campagne démocratie 2012.

 qui somme nous :

Nous somme une association informelle, non déclarée en préfecture et qui a vocation a ce dissoudre après les élections. Nous sommes un ensemble d’acteur(trice)s du milieu politique, associatif et syndical, qui ont décidé-es de lancer une campagne d’affichage sur le thème de la démocratie réelle, le principe de démocratie directe et d’assemblée populaire sur tout le territoire français.

Le rôle de l’association n’est pas d’organiser les campagnes d’affichages, nous considérons que si l’affichage doit être fait par une personne en son nom propre, par une association, par une organisation politique ou par une coordination, cela relève uniquement du choix de ces personnes ou groupe de personne. Nous nous contentons de nous occuper de la production des maquettes d’affiches et d’impulser la mise en place de la campagne. Nous proposons également la centralisations des informations par le biais d’un site internet et d’une liste mail. Cela aurait pour but de tenir tous les acteurs de cette campagne informés de l’évolution de cette dernière dans les autres villes ainsi que de faciliter la mise en relation des personnes d’une même ville si elles veulent s’organiser.

 Les objectifs de l’association « campagne 2012 » :

L’association a deux types d’objectifs distincts.

Premier objectif :

Impulser une campagne de médiatisation au sein de la société civile sous la forme d’un affichage et d’un tractage massif lors de la période électorale afin d’informer, de sensibiliser et d’interpeler ceux qui votent quand à la supercherie de notre institution pseudo-démocratique en communiquant sur le fossé qui existe entre le fonctionnement d’une démocratie directe et le fonctionnement d’une démocratie représentative et parlementaro-ploutocrate au service de la finance et des cartels bancaires et aussi d’informer, de sensibiliser et d’interpeler les abstentionniste quand a la possibilité de la mise en place d’une démocratie directe de part, entre autre, les assemblées populaires.

Deuxième objectif :

Proposer, des moyens de s’informer, de communiquer, de débattre et de s’organiser autour du principe de démocratie directe à l’aide d’une liste mail et d’un site internet. Ces moyens de communication seront proposé comme prémisse a une organisation qui ce veut locale et autodéterminée. Elle a seulement vocation a rediriger les gens que les affiches ont interpellés vers quelque chose de concret en attendant la formation de lieux de débats et de prise de décisions collectives vers lesquelles ils-elles se redirigerons naturellement à partir de leurs mise en place (faite par ceux qui souhaitent le faire localement) et qui auront leurs propres légitimités.

 Le rôle de l’association :

Notre rôle est de proposer à chaque organisation politique, à chaque association et à chaque personne la possibilité de participer à une campagne d’affichage sur le thème de la démocratie directe.

Pour cela nous proposons aux différents acteurs :

 Des maquettes numériques d’affiches et de tractes (pour les modifier et/ou les imprimer eux même)

 De mettre a disposition au téléchargement les maquettes et les tractes que l’on nous propose a l’adresse : http://www.neufgiga.com/n/50-17/share/LNK62204f688c3247719/

 Une liste mail général pour pouvoir communiquer sur les avancement de la campagne ainsi q’une aide technique pour ceux qui voudraient crée un liste mail pour leur propre ville. (pour acceder a la liste mail demandez une invitation a cette adresse : campagnademocratie2012@gmail.com)

Nous avons mis en place un site internet dont l’adresse (http://campagne2012democratie.over-blog.com) serait marqué sur les maquettes des affiches non modifiées. Sur ce site il y a un descriptif de la campagne, des articles sur la mise en place et le fonctionnement d’assemblées populaires qui sont une base possible pour la pratique de la démocratie directe, et une liste mail général pour que les participants puissent publier leurs actions si ils le souhaitent.

Pour le lancement de cette campagne nous avons également contacté un grand nombre d’organisation politique, quelques parti, certains syndicats et un grand nombre d’association.

En bref :

Cette campagne a vocation a redonner son sens premier au mot « démocratie » en dénonçant le fonctionnement actuel et en exposant des mode d’organisation qui permettent une démocratie directe d’exister. Elle a aussi pour but d’interpeler les gens et crée un débat sur le fonctionnement de nos institutions et de celle auquelles nous sommes soumis (FMI, OMC, OCDE, BCE). Nous espérons un sursaut citoyen car la crise de la dette ce propage doucement, après la Grèce l’Espagne et l’Italie cela sera le tour de la France de voir bafouer la souveraineté de son peuple au nom des intérêt d’une dette qui n’aura enrichie que l’infime minorité la plus grasse d’entre nous. Si nous ne voulons pas que la dictature des cartels financiers s’imposent en France comme elle l’a fait en Grèce nous devons nous réveiller dés aujourd’hui et réinvestir en puissance la scène politique et économique.