Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

La CGT d’Eure-et-Loir condamnée pour licenciement ...
Article mis en ligne le 24 juillet 2012

par siksatnam

L’union départementale CGT d’Eure-et-Loir a été condamnée mercredi par le tribunal des prud’hommes de Chartres pour le licenciement abusif de son ancien secrétaire départemental, Georges Cantan, évincé en 2010 à l’issue d’un vote des militants lors d’un congrès du syndicat.

M. Cantan, qui était secrétaire départemental et donc salarié de la CGT, n’avait pas été renouvelé dans son mandat à l’issue d’un vote des militants au congrès départemental en mai 2010. Il avait été battu par Guylaine Raffin, actuelle secrétaire départementale CGT 28.

Selon son avocate, Me Sandrine Bezard, "rien n’a été proposé à mon client pendant un an jusqu’à ce qu’on le licencie pour motif économique ! Dans leur jugement, les prud’hommes ont mis en exergue les irrégularités de procédure, et n’ont pas eu besoin d’aller sur le terrain de l’aspect économique du licenciement".

L’union départementale CGT a été condamnée à verser 16.095 euros à M. Cantan au titre des dommages et intérêts pour "procédure abusive". Elle a aussi été condamnée à verser 1.000 euros pour procédure irrégulière de licenciements, 536,51 euros d’indemnités compensatrices de préavis ou encore 536 euros de congés affairant.

"Nous pensons que la justice a été rendue", déclaré à l’AFP, l’avocate de l’ancien secrétaire général.

Le licenciement de M. Cantan avait provoqué des remous dans les rangs de la CGT d’Eure-et-Loir.