Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

Ségolène Royal favorable à des "délocalisations défensives" !
Article mis en ligne le 5 avril 2007

par siksatnam

Dans le numéro de mars/avril 2007 de « Challenges », le magazine des entrepreneurs, la « camarade » Ségolène Royal est interrogée par un panel de huit patrons français.
Elle déclare crânement qu’il «  faut sortir de l’idéologie punitive du profit » ; Elle dit aussi qu’elle favorable à des « délocalisations défensives » (sic) et poursuit en affirmant que les « salariés sont prêts à comprendre tout cela si on les associe à la décision » !!!
C’est la même personne qui, il y a deux mois, devant la section socialiste de Paris, assène « le profit rapace, le profit fainéant, le profit arrogant »… Faudrait savoir...
La méthode ressemble étrangement à celle de Sarkozy : les « convictions » changent au gré des auditoires... Un condensé de la sociale démocratie à la française sans doute…