Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...
Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".
Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.
" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "
Piotr Kropotkine -
Toutes les organisations antifascistes, y compris le gouvernement de la Généralité et les instances supérieures de la CNT confondaient et mélangeaient astucieusement la délinquance et la violence révolutionnaire des comités de quartier et des syndicats. Ceux-ci confisquaient, collectivisaient ou (...)
Pervitine, la drogue du IIIe Reich
Malgré une politique anti-drogues, la pervitine, à base de méthamphétamine, devient un médicament grand public. Délivrée librement, puis sous ordonnance à partir de 1939, elle n’est soumise à la législation sur l’opium qu’en 1941. Elle a été produite par les usines (...)
Nous sommes le 13 mars 1871 et un Ardennais de 16 ans quitte Paris ; il voulait basculer dans l’ivresse sociale. Mais les choses n’ont pas encore commencé, alors il rentre. La légende rapporte qu’il serait revenu à Charleville à pied. Menacé de maison de correction par sa mère, il va embarquer sur un (...)
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