Ci dessous, l’étonnant communiqué de presse de Duce de Vox Populi qui, comme à son habitude, nage en plein délire
Notons que s’il avait risqué quoi que ce soit, il ne serait même pas là pour vomir son 4 heures... Et que son commerce, tout comme son auguste personne, n’ont même pas été effleurés....
200 militants d’extrême-gauche menacent de mort Pierre-Louis Mériguet devant son commerce !
Ce samedi à 16 heures, 200 militants d’extrême-gauche (dont certains masqués et armés) se sont livrés à une véritable descente sur le commerce de Pierre-Louis Mériguet, porte-parole de Vox Populi. Les slogans criés étaient on ne peut plus clairs : « Mériguet on va te tuer ! »
Cette manifestation sauvage et violente était préméditée, puisque plusieurs journalistes étaient présents sur les lieux. Malgré les menaces et le risque évident de violences, seulement une voiture de police encadrait la horde sauvage, renforçant ainsi son sentiment d’impunité. On peut légitimement s’interroger sur cette absence de présence policière, les extrémistes ayant ainsi pu laisser libre cours à leur haine sans être nullement inquiétés.
Réaffirmons-le clairement : l’affaire Méric est une tragédie. Mais elle ne doit pas servir à cautionner les exactions de cette extrême-gauche violente qui cherche – en panique face à sa perte totale d’influence sur la jeunesse tourangelle et française – à museler toute forme d’expression politique ne lui convenant pas. Et cela notamment à l’approche des élections municipales.
Menant un combat légal, politique, démocratique à visage découvert, les enracinés de Vox Populi ne céderont pas face aux menaces et à la haine d’extrémistes cagoulés.
Une plainte va bien entendu être déposée pour menaces de mort, plusieurs agitateurs de l’extrême-gauche locale ayant clairement été identifiés.
Et la lettre "du père de famille"...
Tours, le 10 juin 2013
Monsieur le Préfet d’Indre-et-Loire,Samedi dernier, j’ai été publiquement menacé de mort, devant mon commerce, par 200 militants d’extrême-gauche qui n’ont pas hésité à exploiter le décès d’un jeune homme pour justifier leur comportement haineux et violent envers moi. « Mériguet, on va te tuer », le message sorti de leur bouche reste sans ambiguïté et me pousse à vous écrire ce courrier, avant qu’il ne soit trop tard.Cette manifestation sauvage du 8 Juin 2013 était de toute évidence préméditée puisque plusieurs journalistes étaient déjà présents sur les lieux au même moment, espérant immortaliser le conflit par l’image. Malgré les menaces et le risque évident de troubles à l’ordre public, seule une voiture de police nationale encadrait ces manifestants (dont certains étaient cagoulés et armés), renforçant ainsi leur sentiment d’impunité. On peut donc légitimement s’interroger sur les raisons de cette absence de présence policière, qui a laissé ces extrémistes avoir libre cours à leur haine sans être inquiétés.Monsieur le préfet, votre poste fait que vous étiez obligatoirement au courant de ce rendez-vous malgré le fait qu’il n’était pas déclaré dans vos services. Vous connaissiez également, en vue du contexte actuel, les motivations de ces participants à vouloir me lyncher physiquement.
Pourquoi ne pas avoir pris les mesures nécessaires pour éviter ces débordements qui auraient pu très mal finir si je n’avais pas fait preuve d’un sang-froid exemplaire ? Votre premier devoir reste celui de garantir la sécurité de tous les citoyens, avec neutralité républicaine. Plusieurs commerçants et habitants du quartier Plumereau se joignent à moi pour vous dire que ce n’est pas ce qui a été fait samedi.Il y a plus d’un an déjà, mon épouse vous exprimait, dans une lettre datant du 12 décembre 2011, ses inquiétudes devant l’incapacité qu’ont ces activistes gauchistes à faire la différence entre les domaines privé,professionnel et public.
Samedi, ils ont une nouvelle fois prouvé leur refus de vivre leur engagement selon la loi en appelant à « tuer Mériguet » juste devant mon lieu de travail.Quelle sera la prochaine étape ? La République peut-elle se permettre de fermer les yeux sur mon cas, sous prétexte que j’exprime publiquement et légalement une vision politique susceptible de déranger certaines personnes ? Vous ne pouvez minimiser ces risques et attendre que l’irréparable arrive. Ce n’est pas comme s’il n’y avait pas d’antécédents, pas comme s’il n’y avait pas de dangers.C’est pourquoi :
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Je souhaite obtenir un rendez-vous avec un responsable de votre cabinet, détaché à la sûreté publique, afin d’éclaircir cette situation rapidement et d’éviter toute récidive.
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Je demande également que les lois de la république soient les mêmes pour tout le monde et non à géométrie variable en fonction des idées.
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Enfin, il me paraît légitime et nécessaire de vous demander une surveillance policière de mon commerce et de ma famille après les appels au meurtre proférés à mon encontre samedi et les multiples dégradations subies pour lesquelles des plaintes ont déjà été déposées.
Je reste à votre entière disposition pour tous renseignements complémentaires pouvant vous aider à subvenir à mes demandes et vous adresse, Monsieur le Préfet, l’expression de mes sincères salutations.
Pierre-Louis Mériguet
Père de famille
Commerçant
Porte-parole de Vox Populi