Véronique Verger , vous connaissez ? Cette Tourangelle s’est fait connaitre en publiant, en 2013, un livre, « Si je viens vers toi », aux Editions Villèle.
Elle y raconte son parcours terrible dans la prostitution et ce faisant, est devenue la coqueluche des médias, locaux et nationaux, ainsi que celle de groupes militants comme celui du NID par exemple.
Le PS lui a fait aussi les "yeux doux", car, avoir une "femme du peuple dans ses rangs" était une chose suffisamment trop rare pour être négligée.
Véronique Verger vient de faire savoir qu’elle allait commettre un second livre ; le premier, au delà de multiples critiques complaisantes, était, d’un point de vue littéraire, tout à fait désastreux. Malgré un gros travail de réécriture et de corrections, les aficionados de Véronique Verger n’ont pu gommer le caractère médiocre de l’entreprise qui, à certains moments, confine à l’exercice de mythomanie appliquée.
Depuis, Véronique Verger a créé une association "Comme à la maison" pour poursuivre son combat et pour faire acte de solidarité. Elle inonde de mails, sans qu’ils n’aient rien demandés, des centaines de contacts qu’elle a pu récupérer au fil de ses déambulations.
Ainsi, elle envoie une énième missive électronique le 24 février dernier où elle se plaint de ne pas avoir d’argent pour vivre et indique qu’il serait bien au final de rémunérer ses "services" solidaires...
Elle précise ainsi que " C est la dernière ligne droite ! .....Véronique Verger Estime en avoir assez de voir toute cette Mascarade dans cette ville ......Aujourd’hui toute la politique des Associations sont tournés pour Beaucoup et pour Beaucoup d étrangers et que nous n avons même pas trouver des Solutions Pour Nos Français !.... " Comme à son habitude, en mauvais français, elle nous sort un discours familier du FN. Les étrangers viennent lui bouffer, non pas son pain, mais les subventions qui devraient naturellement, tomber dans son escarcelle !
Nous voilà donc revenu à la fange d’un racisme du quotidien, du médiocre et du caniveau.
Véronique Verger qui semblait avoir tout fait pour en réchapper, y retourne donc par d’autres sombres chemins.