Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

Grande Traversée : Louise Michel, femme tempête
Article mis en ligne le 9 octobre 2021
dernière modification le 25 septembre 2021

par siksatnam

Plongez dans ce portrait documentaire de Louise Michel, où vous est racontée son histoire, permettant de parcourir des vies, des temps et des paysages où se mêlent petits et grands récits.

Retourner sur les pas de Louise Michel (1830 – 1905) par les archives : les dossiers des bagnardes, le sien, celui des autres ; les milliers de rapports de la police qui ne l’a pas lâchée depuis son retour de Nouvelle-Calédonie jusqu’à sa mort. L’icône de la Commune, la militante révolutionnaire, l’anarchiste et l’écrivaine se révèle dans ses mémoires prolifiques, au travers des procès, par la presse de l’époque, passionnée. Les voix de cette époque, un siècle utopiste aux révolutions inachevées se rappellent à notre mémoire sélective.