Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

Libération de Paris : la Nueve et ses républicains espagnols enfin pleinement reconnus
ces républicains espagnols, en majorité anarchistes, ont presque été oubliés...
Article mis en ligne le 24 août 2024

par siksatnam

"La Nueve", neuvième compagnie de la 2e DB du général Leclerc, libéra Paris aux avant-postes. Dès le 24 août 1944, sous le commandement du Capitaine Raymond Dronne et d’Amado Granell, homme politique espagnol et héros de la France Libre, premier officier allié à être entré dans l’Hôtel de Ville de Paris lors de sa libération. Ces Espagnols républicains (146 hommes sur les 160 de l’unité), anarchistes pour la plupart, mais aussi socialistes et communistes, voulaient libérer le monde du fascisme. Mais le fait d’armes de ces "militaires par la force des choses" a mis des années à être (re)connu.