Les identitaires sont comme tous les s défenseurs du vieux monde : des gens qui ont peur de la décadence, car ils ne sauraient imaginer l’avenir , le dépassement inévitable de de ce qui constitue le présent, le mouvement. Ils veulent figer la société sous une bulle pour ne pas la perdre.

Ils ont d’abord peur de perdre ce qu’ils croient posséder. Ce n’est pas sans lien avec le fait que eurs chefs sont avant tout des bourgeois ou petits bourgeois.

Ils ignorent que la vie n’est pas qu’un combat pour la survie mais qu’existe l’entraide et l’enrichissement par la diversité.

derrière leur critique de la consommation , ( alors que certains sont paradoxalement des commerçants vendeurs de camelotte étrangère au prix fort), ils n’y a qu’une critique de ce qui est séculier au profit d’un prétendu éternel dogmatique et religieux. Rien d’autre que la critique catholique de la consommation et surtout de la vie sur terre.

Il ne sont ni révolutionnaires, ni anti-capitaliste et la l’invitation à l’abstinence consommatrice s’exerce surtout pour les autres pas pour le peuple, qui a défaut de pain mangera des hosties dans des églises où l’on professe la haine de soi et la haine du corps, du plaisir, de la jouissance.

Car pour beaucoup d’entre eux ils croient encore à la virginité de la vierge et à la multiplication des pains, "croisés" qu’ils se pensent.

Et ils s’imagnent des chateaux fort , des noms à particulers, des écuyers et des étendards le soir en s’endormant.

Au final , Ils n’ont jamais supportés que le père noël n’existe pas, ils s’accrochent à cette idée , au passé, et ils veulent faire de leur pathologie une pathologie sociétale.