Demain Le Grand Soir
NI DIEU, NI MAITRE, NI CHARLIE !

Le Site de Demain le Grand Soir est issu de l’émission hebdomadaire sur "Radio Béton", qui fut par le passé d’informations et de débats libertaires. L’émission s’étant désormais autonomisée (inféodé à un attelage populiste UCL37 (tendance beaufs-misogynes-virilistes-alcooliques)/gilets jaunes/sociaux-démocrates ) et, malgré la demande des anciens adhérent-es de l’association, a conservé et usurpé le nom DLGS. Heureusement, le site continue son chemin libertaire...

Le site a été attaqué et détruit par des pirates les 29 et 30 septembre 2014 au lendemain de la publication de l’avis de dissolution du groupe fasciste "Vox Populi".

Il renaît ce mardi 27 octobre 2014 de ses cendres.

" En devenant anarchistes, nous déclarons la guerre à tout ce flot de tromperie, de ruse, d’exploitation, de dépravation, de vice, d’inégalité en un mot - qu’elles ont déversé dans les coeurs de nous tous. Nous déclarons la guerre à leur manière d’agir, à leur manière de penser. Le gouverné, le trompé, l’exploité, et ainsi de suite, blessent avant tout nos sentiments d’égalité.
(....)Une fois que tu auras vu une iniquité et que tu l’auras comprise - une iniquité dans la vie, un mensonge dans la science, ou une souffrance imposée par un autre -, révolte-toi contre l’iniquité, contre le mensonge et l’injustice. Lutte ! La lutte c’est la vie d’autant plus intense que la lutte sera plus vive. Et alors tu auras vécu, et pour quelques heures de cette vie tu ne donneras pas des années de végétation dans la pourriture du marais. "

Piotr Kropotkine -

Forum de l’article

Syriza, Podemos, Front de Gauche… Que Crève l’Extrême Gauche du Capital !

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Rappel de la discussion
Syriza, Podemos, Front de Gauche… Que Crève l’Extrême Gauche du Capital !
Tonio - le 1er novembre 2015

Podemos a organisé son premier grand rassemblement dans la capitale espagnole Madrid en février 2015. Selon l’organisation, 300.000 personnes s’étaient réunies pour la « Marche du changement » ; 260 autobus avaient acheminé des milliers de partisans des quatre coins de l’Espagne.

Selon son dirigeant, Pablo Iglesias, le but de la marche n’était pas de « demander quoi que ce soit au gouvernement du Parti populaire [PP] », mais d’effectuer une démonstration de force pour prouver que la « majorité sociale n’était pas disposée à faire confiance au PP et au PSOE [le Parti socialiste espagnol, principal parti d’opposition]. »

A la fin de la marche, Iglesias a tenu un discours pro-capitaliste et nationaliste dans lequel la défense de la « souveraineté nationale » était un des thèmes récurrents. Il a évoqué le Don Quichotte de Cervantes, le poète espagnol Antonio Machado, le soulèvement contre l’occupation napoléonienne de l’Espagne en mai 1808 et la proclamation de la République espagnole en 1931.

Il a déclaré, « Nous sommes venus pour célébrer le fait qu’en 2015 le peuple allait recouvrer notre souveraineté et recouvrer notre pays. Nous sommes aussi venus pour tendre la main à d’autres… C’est un moment essentiel. C’est un moment constitutif d’un nouveau pays qui a décidé de recouvrer sa souveraineté, de recouvrer sa démocratie. C’est maintenant le moment. Oui nous pouvons ! »

La démagogie patriotique d’Iglesias n’a rien de nouveau. Ses discours regorgent d’appels au nationalisme et d’attaques contre la « caste », terme qui désigne le PP et le PSOE qui ont « vendu le pays » à la ‘troïka’ – le Fonds monétaire international, la Banque centrale européenne et l’Union européenne.