
Depuis le début de l’affaire Adrien Quatennens , La France Insoumise (LFI), le parti de Jean-Luc Mélenchon, n’en fini pas d’être secoué en interne.
Un millier d’adhérentes et d’adhérents vient de publier une tribune dans "Le Monde" précisant, entre autre : « Nous, membres de la France insoumise et de la Nupes demandons l’exclusion d’Adrien Quatennens... nous appelons les militants.e.s à l’insoumission », dénonçant un « système vertical privilégiant la protection des cadres dirigeants aux dépens des militants.es et des programmes ».
Et d’appuyer leur demande en déclarant que : « oui, le privé est politique, aucun agresseur n’a sa place dans nos partis, nos organisations, nos institutions, dans nos hémicycles ».
Cette prise de position a le mérite d’être claire. Elle serait d’autant plus crédible si de telles mesures étaient suivies d’effets en province aussi, où certains militants pas tout à fait net se pavanent encore très tranquillement.
Citons en Touraine, le sieur Antonin Béranger (ni plus, ni moins le directeur de cabinet d’Emmanuel Denis, maire de Tours), militant au très groupusculaire (en Touraine) parti politique "Ensemble" (un des composants de la France Insoumise) et cogneur "malgré lui" de sa compagne il y a quelques années...
Pour plus d’info : http://demainlegrandsoir.org/spip.php?page=article&id_article=2935